Gros délire avec des mots impossibles
Thème : Médiéval-fantastique (en principe)
Joueurs : [R]Relick, [E]Endy, [D]Drizzt, [H]Hadora, [G]Guim, [T]Tampopo
Préparateurs : Endy
Transcription par Endy
Il était une fois un puissant magicien habitant une sinistre[D] forêt. Cette forêt se trouvait sur une île carrée[E], au milieu d'un lac bordé par des plaines fertiles. Un jour, un moine[G] traversa le lac pour lui rendre visite, avec son fidele compagnon, un saurien[H] agé de 23 ans.
Arrivé dans la demeure du magicien, le moine y aperçut d'étranges objets : des jumelles, un stroboscope[R], des parchemins. Comme ils etaient myopes, ils prirent les jumelles pour lire les parchemins. Le magicien et le moine devinrent vite amis, et le magicien lui enseigna l'art de manière paternelle[D].
Mais après des années d'études, le moine eut un mauvais pressentiment[E] à l'égard de son maître : il sentait un pouvoir maléfique et immense se développer en lui à son insu... Et lorsqu'il s'entraînait à faire les expériences apprises par son maitre, les liquides avaient de plus en plus de mal à se gazéifier[G]. Ensemble ils decouvrirent un nouveau liquide tres dangereux. Le magicien avait des idées noires, ils voulait le vendre pour devenir un vrai capitaliste[H]. Le magicien alla donc vanter[R] les mérites de leur produit auprès de tous les marchands des environs. Il essaya de vendre ce produit à tous ces marchands à des prix exorbitants[T]. Mais les marchands ne trouvèrent pas ce marché équitable[D] et refusèrent l'achat.
Très contrarié, le mage se mit à faire des nouveaux[E] plans pour conquérir le monde en utilisant la puissance de ses potions, mais le moine et son ami le saurien intelligent commençaient à trouver qu'il allait trop loin... Ainsi, ils mirent au point un pare-feu[G] volant et invisible pour contrecarrer les armes destructrices du magicien.
Le magicien essaya de positiver[H] en allant chez Carrefour car "Avec Carrefour, je positive." Mais la devanture de Carrefour avait changé : elle était devenue rose[R] !!! Et le rose était une couleur de pedette (PD au féminin, d'après tampopo...), ce qui causa du souci[T] au mage, qui ne voulait plus rentrer dedans.
Alors, le magicien se mit en colère et alla voir le sorcier noir qui rechangea la couleur du carrrefour contre une grosse indemnité[D] ! Le moine attendait ce moment : pendant que le sorcier noir repeignait la devanture, il arriva à toute allure monté sur son saurien et propulsa[E] le magicien dans la peinture ! Le sorcier, du haut de son échafaud[G], lié au magicien par son contrat, dégaina sa banane géante et tira. Son tir fut confirmé[H], car il tua le pauvre saurien, qui attendait un petit, en plus.
Le moine n'eut d'autre solution que de fuir prestement et s'en alla retrouver des forces au sein d'une deumeure plus hospitalière[R]. Mais le magicien, en étant propulsé dans la peinture, avait tâché le moine et la demeure hospitalière n'en voulait pas, et le vira[T] pour ne pas être tâchée.
Le moine lança donc un sort mineur : il toucha[D] ses habits et les tâches de peinture disparurent ! Il fut donc accepté dans la ferme hospitalière, mais dut travailler à l'élevage de dindes[E] de cette ferme pour rembourser le prix du nettoyage des tâches de peinture sur les murs. Et le soir, pour amadouer la tenanciere, il raconta moults histoires drôles, devinettes et contes, tout cela entrecoupé de proverbes[G]. Avant de se coucher, il pensa aux 42 bâtisseurs[H] qui avaient construit cette ferme, payés en plus au SMIC.
Le moine lésina[R] un moment puis décida d'abandonner le magicien et de plutôt continuer dans la voie qu'il s'était trouvé : l'élevage de volaille. Mais le mage se rendit compte que cette ferme était a equidistance[T] de son île et du Carrefour ! Il pensa donc que le moine devait avoir un plan derrière la tête... Il fit donc un saut[T] à la ferme pour la détruire en tuant le moine, ce qui le laissait libre de conquérir le monde !
MOUHAHAHA ! Pour une fois les méchants ont gagné !
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